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Congo (RDC), 2012

Suite à la collaboration étroite avec l’Université de Liège, une formation en chimie analytique a été donnée à de jeunes scientifiques congolais.

En bref

Un instrument d’électrophorèse capillaire (EC) est maintenant installé à l’Université de Kinshasa. Il est utilisé aussi bien pour la formation que pour le contrôle de qualité des produits pharmaceutiques.
Pour ce projet, un partenariat entre 3 instituts universitaires a été développé.


Participants

Correspondant

Roland Marini Djang’eing’a, PhD, Chargé de Recherche, Service de Chimie Analytique, Département de Pharmacie, Université de Liège, Bât. B36, Avenue de l’Hôpital 1, 4000 Liège 1, Belgique

Philippe Hubert, chef de service du Laboratoire de Chimie Analytique (LCA), Université de Liège, Avenue de l’Hôpital 1, 4000 Liège 1 Belgique

Responsable

Prof. Dr Josaphat Ndelo-di-Phanzu, chef de département , Faculté des Sciences Pharmaceutiques, Département des Sciences Biopharmaceutiques et Alimentaires, Université de Kinshasa, BP 212, Kinshasa XI, République Démocratique du Congo.


Situation locale

République Démocratique du Congo

La République Démocratique du Congo, aussi appelée DR Congo, Congo-Kinshasa ou DRC, est un pays situé en Centrafrique. Par sa surface, c’est le 2ème plus grand pays d’Afrique et le 11ème du monde. Avec une population de plus de 71 millions d’habitants, la République Démocratique du Congo est le 19ème pays le plus peuplé du monde et le 4ème d’Afrique..

Depuis 2008, le Département de Chimie Analytique de l’Université de Liège (Prof. Dr. Hubert) s’est attaqué au problème des contrefaçons de médicaments qui affecte aussi les pays développés. Dans ce contexte, plusieurs projets et collaborations ont été mis en place, parmi lesquels un partenariat entre Pharmelp et l’Université de Kinshasa.

 

Dans le cadre de ce partenariat, Pharmelp a fourni un équipement EC qui a transité par l’Université de Liège durant 12 mois (2012) afin qu’une formation sur son utilisation soit dispensée à des étudiants congolais, sous la supervision du Dr. R. Marini.  Une fois cette formation pratique terminée, l’équipement a été envoyé à l’Université de Kinshasa 0ù il a été installé. Il est utilisé pour le contrôle des médicaments dont le le risque de contrefaçons est le plus élevé. En conséquence, les autorités peuvent alors prendre une décision sur la base de preuves scientifiques.
Les étudiants du 3ème cycle (niveau Master) en Assurance et Contrôle de Qualité des médicaments ont aussi accès à l’ECB. Cette formation a été cofinancée par le programme EU-ACP Edulink dédié à des travaux scientifiques.

Roland Marini – University of Liège, Belgium